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Journée internationale du handicap

  • Anne Martineau
  • 1 déc.
  • 1 min de lecture

Anne Martineau, éducatrice spécialisée en libéral dans la région Sud Manche



Le 3 décembre, le monde entier se souvient que le handicap ne définit pas une personne : il révèle surtout la façon dont une société choisit de la regarder et de l’accueillir. La Journée internationale des personnes en situation de handicap n’est pas une case à cocher dans un calendrier, c’est une respiration collective, un moment pour poser la question : que faisons-nous, concrètement, pour que chacun trouve sa place ?


Sur le terrain, en tant qu’éducatrice spécialisée, je rencontre chaque jour des enfants, des adolescents, des adultes qui vivent avec une différence, une fragilité, parfois un obstacle invisible. Derrière chaque histoire, il y a la même aspiration : être reconnu, être entendu, pouvoir agir sur son quotidien. Le handicap, ce n’est pas seulement une limitation, c’est aussi une invitation à inventer d’autres manières de vivre, d’apprendre, de travailler, de créer du lien.


On pourrait croire que tout cela ne dépend que des grandes lois, des dispositifs nationaux, des politiques publiques. Mais dans la réalité, l’inclusion se joue à une échelle bien plus proche : dans une école où un enseignant ose adapter son cours, dans une entreprise qui ouvre ses portes, dans une famille qui trouve enfin un relais d’écoute et de soutien.



Félicitation Alexandra pour toutes les actions réalisées, ta persévérance et ta bonne humeur. Tu mérites le meilleur ! Merci à toute l'équipe. L'union fait la force.

 
 
 

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